C’est le constat que peut faire une jeune femme qui faisait partie des premiers bénévoles à venir s’immerger dans le cambouis au premier jour de la marée noire.

Son corps tout entier a fait alors des réactions allergiques avec des éruptions cutanées rougeâtres.
Aujourd’hui, des traces sont encore visibles sur ses épaules et, curieusement, l’éruption cutanée ressurgit dès qu’elle se baigne dans la région du naufrage (Blue Bay) : « si je me mets à l’eau dans le nord ou dans l’ouest, il ne se passe rien, mais chez moi à Blue Bay, ça me crée tout de suite une allergie. Ca prouve bien qu’il y a encore quelque chose de nocif dans l’eau »…